La crise traumatisante qui a touché l’argentine et les mesures prise pour la gérer.
Y’a-t-il une similarité entre la
crise en argentine et celle de 2001 ? Une loi est publiée par le
gouvernement argentin, en rapport avec des mesures fiscales et économiques. Selon
le président Fernandez, elle est créée pour évoluer le niveau économique du
pays. Le vote réalisé samedi par le parlement a permis la publication de la
nouvelle sur le journal officiel vers 21h à paris.
Que contient cette loi ?
Elle contient généralement, la
hausse des taxes fiscales pour les classes modeste, les plus aisées, les
actions d’exportation agricoles et dans l’agro-business. Ainsi, qu’une autre
taxe de 30% sur les achats en devises
étrangères.
Le gouvernement veut combler les
besoins des secteurs les plus atteints et se focaliser sur l’évolution de la demande,
selon les dires d’Alejandro Vanoli directeur de l’organisme gouvernemental chargé
de la sécurité sociale des retraites et des aides aux personnes défavorisées.
Ce qui nous ramène à cette loi qui envisage la création d’un plan contre la
faim et la possibilité de bénéficier d’une prime en plus du salaire maigre des
retraités qui ont on besoins ainsi que la majorité des pauvres. L’inflammation
et la récession laissée par l’ex président de centre droit Mauricio Macri qui a
conduit le peso argentin de baisser de 70% dès janvier 2018 et du coup de
s’endetter auprès du fonds monétaire
international FMI un prêt de 57 milliards de dollars pour un programme
d’austérité, mais elle n’a eu enfin de compte que 44 milliards de dollars.
Une baisse de 3,1% du PIB est retenue en 2019, et une autre
croissance des prix de 55% avec une hausse qui dépasse tout autre pays. Une
augmentation de 330 milliard de dollars de la dette publique est aussi attesté
ce qui signifie 90% du PIB dans les
44milliards de FMI.
Les circonstances sont alors critique est affligeante.
La personne fraichement designer
dans le poste de présidence affirme le 10 décembre que cette situation lui a
était léguer par l’ancien président, et qu’il y avait une similitude avec le
cas de 2001, or ce n’est pas la vérité, en 2001 l’argentine fessait face à des
problèmes plus sévère que ce soit par rapport au taux de pauvreté qui dépasser
les 50% ou un montant de dettes plus
élevés que celui réaliser récemment. Le problème aujourd’hui étant le payement
virtuel selon les dire d’Alberto Fernandez qui pousse les créanciers a négocié
une nouvelle restructuration avec le pays.
Selon un économiste argentin, ce
n’est pas un défaut de non-paiement mais plutôt une défaillance technique.
Après la publication de ces informations, l’organisme financier affirme
l’ouverture d’un dialogue avec Buenos Aires, le président Fernandez a par la
suite affirmé qu’une mission de fonds sera exécutée dans les jours suivant.
Au mois d’aout, un remboursement
de 9 milliards de dollars a était réaliser. « Le défaut sélectif »
ou « RD » donner par la suite
par l’agence de notation Standard and Poor’s et Fitch, atteste que l’emprunteur
c’est à dire l’argentine, malgré qu’elle
ne soit pas totalement solvable elle continuera de payé ses dettes par
n’importe quel autre moyen de remboursement. En 2001, le pays argentin était
connu d’avoir vécu le plus effrayant défaut de paiement de l’histoire, ce qui a donné lieu à une crise sociale et
économique très dévastatrice.
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